Un
Guinéen publie une formule mathématique qui met fin à une vieille recherche de
plus de 2 000 ans
Par
Guinee7.com
- 7
avril 2016
Guillaume
Hawing
Ce
mercredi 6 avril, guinee7.com est parti à la rencontre d’un Guinéen qui vient de
réussir là où les plus brillants esprits scientifiques ont échoué. Nous vous
livrons le contenu de l’entretien et le contenu de l’article scientifique
en français et en anglais.
Guinee7.com :
Pourquoi une vieille recherche de plus de 2 000 ans, comment vous y êtes
arrivés ?
M.
Guillaume Hawing:
Merci pour cet entretien. Une vieille recherche, parce que la problématique date
depuis Euclide, 200 ans avant le Christ. J’ai réussi, parce que j’ai observé
encore et encore et j’ai refusé d’être contaminé par la façon de voir des
autres.
Pourquoi
avez-vous finalement décidé de publier votre formule, pourtant vous sollicitiez
un super ordinateur pour générez les nombres premiers?
La
répartition des Nombres Premiers est une vieille recherche de plus de 2 000 ans.
Réussir un schéma simple qui organise la répartition des nombres premiers fait
partie du rêve de tous les mathématiciens professionnels. Les nombres premiers
sont l’hydrogène et l’oxygène du monde des nombres. Ce sont les atomes, les
briques des mathématiques. Au sujet de ces nombres, Gauss, Prince des
maths, disait ‘‘Il n’existe aucun moyen de prédire la distribution des
nombres premiers’’. Paul Erdos, quant à lui, disait ‘‘Il faut attendre encore un
million d’années avant de comprendre les NP’’.
A
cause des nombres premiers (N.P), Hardy, le scientifique qui a réveillé
l’Angleterre de son sommeil mathématique, a vu DIEU comme son plus grand ennemi.
Avec le mystère de la répartition des N.P, l’indien Ramanujan, le plus
brillant esprit scientifique du 19ème siècle a failli se suicider en
se jetant sous un train. Oui, les N.P ont toujours fasciné mais refusé de
dévoiler leur secret.
Aujourd’hui,
nombreux sont les mathématiciens professionnels qui travaillent sans relâche sur
ces nombres énigmatiques et mystérieux. Depuis septembre 2012 j’ai juré que je
serai celui qui réussira à établir un schéma qui organisera la répartition des
N.P.
En
2014 j’ai fait une première publication (test le primalité). En fin février
2016, j’ai compris que pour réussir à répartir les NP qu’on peut aussi appelés,
excepté 2, nombres impairs non composés, il faut nécessairement réussir à
repartir les nombres impairs composés. Pour réussir aussi à repartir les nombres
impairs composés, il faut comprendre la loi mathématique pour les nombres
impairs composés terminés par 1, terminés par 3, terminés par 7 et terminés par
9.
En
somme, on part de 1, 3, 7 et 9 pour organiser les nombres impairs composés et on
part des nombres impairs composés pour organiser les N.P. Les nombres premiers
ne sont donc pas gouvernés par la loi du hasard, ils sont une organisation dans
une organisation. ‘‘Allah ne joue pas aux dés’’, disait Einstein. Tout ce qui a
été créé, obéit à une loi, à un ordre. Il suffit juste d’observer pour
comprendre.
Pour
revenir à votre question, pourquoi j’ai publié mon article ? En effet, tout
est parti du jour où j’ai lu un article sur deux californiens de l’université
Oxford, qui ont fait des approches probabilistes sur les chiffres 1, 3, 7 et 9
pour trouver les N.P. Et comme ma méthode part des mêmes chiffres, je me
suis dis que je m’en voudrais et me culpabiliserais durant toute ma vie si
jamais un autre publiait avant moi. Ceux qui me connaissent et savent que j’ai
l’algorithme ne me pardonneront jamais aussi. Les californiens ont juste
vu 1, 3, 7 et 9 et le monde des mathématiques est en efférente. Qu’en
serait-il lorsqu’ils soupçonneront qu’il faut passer de 1, 3, 7 et 9 aux nombres
impairs composés et des nombres impairs composés pour les nombres
premiers ?
Pour
éviter alors les risques, j’ai décidé automatiquement de soumettre mon article
aux revues scientifiques et mieux de le publier partout, car, il sera très
difficile pour les avertis qui connaissent la problématique liée à la
répartition des nombres premiers, de croire qu’un pays très loin de la recherche
scientifique, dont les universités du continent ne se retrouvent nulle part dans
le classement des universités, puisse réussir un tel
exploit.
On
dit d’ailleurs que l’algorithme simple qui réussira à repartir les N.P sera
aussi révolutionnaire que la relativité d’Albert Einstein. Par ailleurs,
nombreux sont les africains qui ont réussi de grandes découvertes mais qui n’ont
jamais été reconnues et qui ont été mises à l’actif d’autres. Avec cette
interconnexion planétaire, il faut être le dernier des avertis pour
ne pas savoir que lorsqu’on a décidé de publier sa trouvaille, de la
proposer aux revues, il faut la faire partager avec tout le monde à travers
toutes les voies de communication possible.
Dans
ces conditions, celui qui tentera quoi que ce soit, sera démasqué. Grigori
Pelerman a fait la même chose en postant son article de 39 pages, sur la
conjecture de Pointcarré sur le site arXiv. Il ne l’a jamais posté dans une
revue. J’estime donc que mon article sur les sites, est une autre forme de
garantie. Je connais l’histoire de Facebook entre Marc et les deux jumeaux qui
se réclamaient être les premiers concepteurs de la technologie Facebook et
que Marc a fait du plagiat. Je connais plusieurs autres exemples de plagiats
scientifiques. Il sera donc difficile que je tombe dans les mêmes
erreurs.
Pourquoi
ne cherchez vous pas à breveter votre trouvaille ?
Ma
trouvaille est une idée et non une technologie industrielle. Le brevetage, ce
sont les industries et non les idées. La garantie d’une idée est dans sa
publication.
Qu’est
ce qui rassure avec votre formule ou algorithme?
Il
fournit les nombres premiers par ordre au cas par cas avec les outils
mathématiques simples accessibles à tous.
Les
nombres premiers servent à quoi, sont-ils
monnayables ?
Avec
la cryptographie, la technologie RSA, ils servent à sécuriser de diverses
données stratégiques en ligne : les informations, les cartes bancaires, la
lutte contre la cybercriminalité, contre le terrorisme etc. Oui les grands NP,
ça donne de l’argent.
Pourquoi
ne pas les fournir avec votre algorithme pour changer votre
vie?
Comment ?
Avec mon micro-ordinateur Toshiba de 4GB de RAM (mémoire vive) ?
Voulez-vous que je prenne le risque d’attendre et perdre un jour ma
trouvaille ? J’ai choisi de publier donc je publierai
partout.
D’autres
alors fourniront de très grands nombres premiers avec votre algorithme et auront
de l’argent avec votre science…
J’aurais
rendu service et j’en serais fier. On ne peut pas vouloir du beurre et l’argent
du beurre. Des fois, il faut savoir choisir pour ne pas être condamné par
l’histoire.
N’avez-vous
pas peur que d’autres mathématiciens détectent des erreurs dans
votre article que vous nous permettez de mettre en ligne en bas de cet
entretien ?
Ils
diront peut être que telle ou telle phrase n’est pas bien écrite, mais ressortir
que l’article a un raisonnement mathématique qui souffre de logique ou
n’est pas une idée originale, j’attends de voir. Je mesure la portée: Oser
affirmer qu’on a un algorithme simple avec les outils simples qui listent les
nombres premiers par ordre croissant sans aucune erreur, c’est oser affronter
tous les mathématiciens professionnels qui travaillent dans ce domaine. Je
sais que beaucoup vérifieront encore et encore, mais je peux les rassurer qu’à
part les fautes d’orthographes ou grammaticales, ils ne trouveront pas
d’autres.
Vous
parlez avec conviction M. Guillaume Hawing…
Je
suis rassuré. En science exacte, il n’y a pas de modestie. Ou on connait ou on
ne connait pas. Quand un théorème, une formule ou un algorithme est vrai, il le
reste pour toujours. Les mathématiques sont l’un des rares domaines où on est
sûr d’avoir touché la vérité.
[…]
Conakry,
le 07 Février 2016 – Tous droits réservés
1.
Critiques
des travaux existants
Le
rêve d’une formule exacte et simple donnant le ne nombre
premier pn, ou le nombre k(n) de nombres
premiers inférieurs ou égaux à n, s’est très tôt heurté à l’extrême
irrégularité de leur répartition, ce qui a amené à se contenter d’objectifs
moins ambitieux. Mais même la recherche de formules ne donnant que des nombres
premiers s’avère assez décevante ; ainsi, il est facile de montrer qu’il
n’existe aucune fonction polynôme non constante P(n) qui ne
prendrait que des valeurs premières pour tous les entiers n, ou
même pour presque tous les n ; en fait, on ignore même s’il
existe un polynôme de degré supérieur à 1 qui prenne une infinité de valeurs
premières[].
C’est
ce qui explique l’intérêt de la remarque d’Euler: le polynôme quadratique
P(n) = n2 + n + 41 est premier
pour tous les nombres entiers positifs strictement inférieurs à 40 (bien sûr, si
n est un multiple de 41, P(n) sera lui aussi
un multiple de 41, et donc non premier). D’ailleurs, 41 est le plus grand
« nombre chanceux d’Euler », c’est-à-dire le plus grand entier A
pour lequel le polynôme n2 + n + A est premier
pour tous les n strictement inférieurs à A – 1 ; cela résulte
du théorème de Stark-Heegner un résultat de la théorie des corps de classes qui
n’a été démontré qu’en 1967.
D’autres
formules utilisant des fonctions plus générales, telle celle de Mersenne,
avaient été envisagées, la plus célèbre étant celle conjecturée par
Fermat : Fn = 22n + 1 est
premier pour tout n. Hélas, si ces nombres (appelés désormais
nombres de Fermat) sont bien premiers pour 0 ≤ n ≤ 4, Euler
découvrit que le sixième, F5, est divisible par 641,
ruinant la conjecture ; actuellement, on pense au contraire que
Fn est toujours composé dès que n >
4.
2.
Problématique
Depuis
la nuit des temps, les nombres premiers ont fasciné et exacerbé la curiosité des
érudits, chercheurs, savants et autres mathématiciens. C’est le charme
fou, envoûtant des mystères et des énigmes irrésolus. La répartition des nombres
premiers est un casse-tête ancestral, une problématique qui date de plus de
3.000 ans et qui a pris à l’échec des plus brillants esprits scientifiques de
l’histoire des sciences. Elle est une problématique qui est même formulée dans
une hypothèse, appelée hypothèse de l’allemand Bernard Riemann
(fonction zêta de Riemann), faisant partie des 7 problématiques du millénaire
mises à prix pour un million de dollar depuis mai 1900 par la fondation Clay
Mathématique. De nos jours, plusieurs questions restent encore ouvertes au sujet
de ces nombres, nous pouvons citer entre autres :
·
La
conjecture des nombres premiers jumeaux,
·
La
conjecture de Goldbach,
·
L’hypothèse
de Riemann dont la résolution est mise à prix depuis mai 1900 par la fondation
Clay Mathématique.
3.
Objectif
de mon travail
Trouver
un schéma mathématique simple qui organise la répartition des nombres premiers
sans aucune erreur.
4.
Portée
et conséquences scientifiques
Les
criminels veulent casser une clé de cryptage RSA. Or la clé privée peut être
recalculée à condition de pouvoir calculer la décomposition en nombres premiers
d’un grand nombre. Pour espérer accélérer cette décomposition, on cherche à
connaître le mieux possible les nombres premiers. Or, comme ce schéma permet de
lister simplement les nombres premiers, donc entre les mains des cybers
criminologues, il est un danger pour le piratage des comptes et pour le décodage
des informations secrètes. Mais, entre les mains des entreprises et firmes de
protection, ce schéma permettra de mieux sécuriser les comptes bancaires, de
mieux sécuriser les informations sécrètes etc. Plus les nombres premiers que
compose un code, sont grands, plus le code est fiable. Cet algorithme simple
avec des outils simples, permettra de mieux sécuriser les comptes bancaires, les
informations et les données sur internet.
5.
Schéma
qui organise la répartition des nombres premiers
Exceptés
les entiers 2 et 5, tous les nombres premiers sont terminés par les
entiers : 1, 3, 7 ou 9. Les nombres premiers sont de la forme : 10n+1
ou 10n+3 ou 10n+7 ou encore 10n+9.
[… ] - Voir
l’interview et la démonstration mathématiques complètes :
Un
Guinéen publie une formule mathématique qui met fin à une vieille recherche de
plus de 2 000 ans