LES
AGENTS DE LA PARTITION DE LA CENTRAFRIQUE NE SONT QUE DES CRIMINELS ENNEMIS DU
PEUPLE CENTRAFRICAIN QUI DOIVENT ETRE NEUTRALISES ET TRADUITS EN
JUSTICE.
Par
PASSEMA ENDJIAGO François – Mercredi 23 Juillet
2014
Quand
on aime son pays, on n’envisage pas sa mise à mort par la partition. Quand
on est Centrafricain, on reste attaché à la Centrafrique intégrale, une et
indivisible et on ne tue pas les Centrafricains.
L’histoire
ancienne nous enseigne que le Roi Salomon (nom qui signifie PAIX), qui régna au
premier millénaire avant notre ère, avait débusqué une femme malhonnête
qui prétendait, injustement, être la mère d’un garçon, qui n’était pas son
fils. Deux femmes se présentèrent un jour devant le Roi Salomon pour demander
JUSTICE. Ces deux femmes qui vivaient sous le même toit (comme les
Centrafricains qui ont vécu sous les mêmes cieux que des traitres qui veulent la
disparition de leur pays) avaient toutes deux donné naissance à un fils à
trois jours d’intervalle. Hélas l’un des deux nourrissons était mort pendant la
nuit. Chacune des mères prétendait que son propre enfant était en vie et que
l’autre femme voulait le lui prendre pour remplacer son enfant mort.
A
la surprise générale, le Roi Salomon proposa que l’enfant vivant soit coupé en
deux et partagé entre les deux femmes (partition d’un pays aimé). L’une des
femmes (à l’instar des agents de la partition de la Centrafrique) accepta qu’on
coupe l’enfant en deux, mais l’autre supplia que l’on épargne le bébé et qu’on
le donne à la femme qui voulait sa mort (centrafricain aimant la Centrafrique).
Le Roi Salomon sut que celle – ci était la vraie maman (défenseur de l’intégrité
territoriale de la Centrafrique) et il ordonna qu’on lui remette l’enfant. Le
peuple centrafricain vaincra.
Les
Centrafricains de cœur et de naissance ne peuvent pas, même dans les pires
cauchemars, entrapercevoir l’ombre d’une partition de leur pays. A l’inverse,
ceux qui manœuvrent pour la destruction de la Centrafrique par la partition
ne sont pas différents de cette femme menteuse qui croyait pouvoir abuser le
Roi Salomon.
De
la même manière, au sujet de la Centrafrique, notre matrie (par opposition à la
notion de patrie), la terre de nos ancêtres, quelque soit le conflit qui oppose
les fils et filles de la Centrafrique, rien, absolument rien ne permettra
d’envisager la destruction de ce que nos parents et avant eux nos ancêtres nous
ont légué….Cette terre qui nous a donné la vie ne saurait souffrir d’une
quelconque diabolique et démentielle partition de la part de bandes de
mercenaires, d’êtres sans foi ni loi, immondes et abominables qui n’ont
absolument rien à faire de la vie des humains, qui ont déclenché un
apocalypse dans notre pays pour ensuite vouloir le partager en différents
morceaux.
Il
est évident que quand on n’a pas l’amour de ce pays qui est la Centrafrique, on
se permet, sans vergogne, téléguidés depuis l’étranger, avec l’aide de traitres
centrafricains, de mercenaires de tout bord, de fomenter sa destruction en
foulant aux pieds le sort et les intérêts d’un peuple pacifique, hospitalier et
accueillant, qu’est le peuple centrafricain.
Les
Centrafricains de toutes origines, de toutes sensibilités, de cœur ou de
naissance, attachés à leur terre n’observeront aucun répit et mettront en œuvre
tout ce qui est en leur pouvoir pour éradiquer toute velléité de destruction de
leur pays par des gens qui n’ont aucun droit, aucune légitimité les autorisant à
parler en leur nom. Nul n’a le droit de disposer d’un pays qui ne lui appartient
pas.
Ces
agents de la partition ne sont que des suppôts de l’étranger qui œuvrent
pour la disparition de la Centrafrique. Leur place se trouve devant les
tribunaux où ils doivent rendre compte des crimes de guerre et des crimes contre
l’humanité qu’ils ont commis et provoqués sur le territoire de la
Centrafrique.
COMME
DANS L’HISTOIRE DU ROI SALOMON LA SEULE ET UNIQUE PREUVE QU’ON EST CENTRAFRICAIN
C’EST DE DEFENDRE L’INTEGRITE TERRITORIALE ET L’UNITE DE LA CENTRAFRIQUE. LA
POSITION CONTRAIRE EST LA DEMONSTRATION QU’ON N’EST PAS CENTRAFRICAIN. DANS CE
CAS ON SE RETIRE DES AFFAIRES CENTRAFRICAINES.
PASSEMA
ENDJIAGO François – Courriel : cacdca@hotmail.com
Tél. :
+(33)685656119 / +(33)786498879
Mercredi
23 Juillet 2014