Le taux de croissance en Centrafrique affiche 6,6 % - réalité ou manipulation quand la Banque mondiale rapporte " Les conflits en République centrafricaine et au Soudan du Sud ainsi que la situation sécuritaire dans le Nord du Nigéria, le Nord du Cameroun et le Sud du Niger pourraient s’aggraver, avec de dangereuses retombées pour le reste de la région."
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1) Centrafrique: Le comité monétaire et économique de la BEAC annonce un taux de croissance de 6,6¨%
Selon le comité monétaire et économique de la Banque des Etats de l’Afrique centrale (BEAC), l’économie centrafricaine malgré la crise, a enregistré un taux de croissance de 6,6 % au deuxième trimestre de cette année 2015.
Dans cette situation socio-économique quasi chaotique en Centrafrique, l’institution financière sous- régionale, entend accroître son appui financier pour permettre au pays de sortir du marasme économique. « L'appui des partenaires sera plus constant car, le 9 juillet prochain à Yaoundé, au Cameroun, la banque centrale va porter à 20 milliards de FCFA le niveau de son financement à la République centrafricaine », a déclaré samedi 4 juillet au sortir de la réunion au siège de la BEAC à Bangui, le vice-gouverneur, Hamid Tair Nguilid, rapporte la presse locale.
La République Centrafricaine a basculé dans le chaos depuis plus de deux ans, avec un tissu économique totalement déchiré. Mais « la croissance de l'économie de ce pays s'explique non seulement par le retour de la sécurité mais surtout par le financement extérieur des institutions de breton Wood », a indiqué Hamid Tair Nguilid.
Le comité monétaire et économique de la BEAC se réunit chaque trimestre, «
pour donner les orientations aux Etats membres, apprécier la situation économique, leur maitrise de l'inflation, la situation des banques et l'évolution économique de la zone ». La prochaine réunion de l’institution est attendue en octobre prochain.Fiacre Kombo - adiac-congo.com –
Mardi 7 Juillet 2015_______________________________
2) « Afrique - Vue d'ensemble »
Dernière mise à jour: 10 avr. 2015
http://www.banquemondiale.org/fr/region/afr/overview
La croissance de l’Afrique subsaharienne devrait marquer le pas en 2015 et repasser sous la barre des 4,4 %, soit le rythme moyen qu’elle a affiché ces 20 dernières années. Ce ralentissement de l’activité économique traduit en grande partie le fléchissement des cours du pétrole et des autres matières premières, même si cette situation présente certains avantages pour les pays importateurs nets de pétrole. Les matières premières et l’investissement étranger devraient moins contribuer à la croissance. L’atonie de la demande et de l’activité dans les marchés émergents affecteront aussi le dynamisme de la région.
Les différents modèles de croissance observés reflètent la diversité des pays africains. Pour des pays exportateurs de pétrole comme l’Angola et le Nigéria, les perspectives sont assombries par le tassement des cours de leur principal produit d’exportation. Au Nigéria, la montée en puissance des secteurs non pétroliers et, notamment, des services, devrait toutefois tirer la croissance en 2016 et au-delà. Parmi les pays en transition économique, le Kenya devrait tirer son épingle du jeu grâce à une hausse des investissements publics et à la reprise du tourisme. Au Ghana, des taux d’intérêt et une inflation élevés devraient peser sur le comportement des consommateurs et des investisseurs et ralentir ainsi l’activité économique. L’Afrique du Sud peut s’attendre à une progression lente mais régulière de son économie, en partie liée au redémarrage progressif de ses exportations nettes et aux réformes visant à résorber les goulets d’étranglement dans le secteur de l’énergie.
Dans la plupart des pays à faible revenu, la croissance restera forte, portée par les investissements dans les infrastructures et la production agricole, même si le tassement des cours des matières premières freinera l’activité des pays exportateurs, notamment de métaux. À l’exclusion de l’Afrique du Sud, le taux de croissance moyen de la région est passé à 5,5 %. L’extrême pauvreté demeure cependant omniprésente sur le continent. Quant aux investissements directs étrangers (IDE), ils ont reculé en 2014, plombés par le ralentissement des marchés émergents et le repli des cours des matières premières. Plusieurs pays, dont la Côte d’Ivoire, le Kenya et le Sénégal, ont su mobiliser les marchés obligataires internationaux pour financer leurs projets d’infrastructure.
Les déficits budgétaires se sont contractés, certains pays ayant pris des dispositions en 2014 pour contrôler leurs dépenses. La situation budgétaire de nombreux pays s’est toutefois dégradée sur la même période. Dans certains cas (au Kenya et au Mozambique par exemple), cela s’explique par la hausse des salaires. Dans d’autres (au Mali, au Niger et en Ouganda notamment), cela tient à l’augmentation des investissements publics. Ailleurs, cette détérioration du solde budgétaire découle de la diminution des recettes budgétaires, surtout pour les pays exportateurs de pétrole, qui (comme l’Angola) ont subi les conséquences d’une baisse de la production et des prix. Le taux d’endettement de la région reste modéré, grâce à une croissance soutenue et des taux d’intérêt bonifiés. Mais dans quelques rares cas, comme au Ghana, au Mozambique, au Niger et au Sénégal, l’endettement a fortement augmenté en 2014.
La chute des cours de l’or, des métaux et des produits agricoles a pesé sur les exportations de la région. À l’inverse, la demande d’importations est restée soutenue, dopée par les projets d’infrastructure. Résultat, plusieurs pays présentent toujours d’importants déficits jumeaux (balance courante et solde budgétaire). Sous l’effet de la hausse des prix des denrées alimentaires, l’inflation a légèrement augmenté au premier semestre 2014 mais elle est restée modérée dans la plupart des pays.
Les perspectives pour la région pourraient être assombries par divers facteurs internes et externes. L’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest semble perdre de sa virulence, mais le risque d’une propagation plus large que prévu n’est pas à exclure, ce qui sape la confiance et perturbe fortement les échanges transfrontaliers et les chaînes logistiques dans la région. Dans plusieurs pays, l’augmentation des dépenses afin de faire face aux besoins urgents pèse de plus en plus sur les budgets publics. Les conflits en République centrafricaine et au Soudan du Sud ainsi que la situation sécuritaire dans le Nord du Nigéria, le Nord du Cameroun et le Sud du Niger pourraient s’aggraver, avec de dangereuses retombées pour le reste de la région. Une hausse subite de la volatilité des marchés financiers internationaux et le recul du prix des matières premières font partie des principaux risques pesant sur la région.
Dernière mise à jour: 10 avr. 2015
http://www.banquemondiale.org/fr/region/afr/overview
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3) Des réactions
:Centrafrique:
Le comité monétaire et économique de
L’économie
centrafricaine a enregistré un taux de croissance de 6,6 % cette année 2015,
selon le comité monétaire et économique de
AFRIQUENEWSINFO.NET
Fred
HYPERLINK
"https://www.facebook.com/fred.loubangui"Loubangui : Comment
peut-on avoir l'audace d'annoncer un taux de croissance à 6,6 pour 100 pour
PrincekHYPERLINK
"https://www.facebook.com/pionel.ndangwi?fref=ufi" HYPERLINK
"https://www.facebook.com/pionel.ndangwi?fref=ufi"PionelHYPERLINK
"https://www.facebook.com/pionel.ndangwi?fref=ufi" HYPERLINK
"https://www.facebook.com/pionel.ndangwi?fref=ufi"Ndangwi aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh
fucka
La Jeunesse Centrafricaine-usa :
Je
ne suis pas un économiste, mais lorsque le vice-gouverneur d’un soit disant BEAC
ne sait pas lire les données macroéconomiques et confond l’indice des prix de
consommations de
Voyant un peu : Le
Maroc a connu en 2015 une croissance de 4,4%; le Qatar 7%; les Etats-Unis 3,1%;
le Japon de 1%;
Principaux indicateurs économiques et financiers:
L’indice
des prix à la consommation a augmenté de 6,6%
Inflation est de
11.1%
Déficit des transactions courantes est a 14,1% du PIB
Déficit
primaire intérieur est à 7,6%;
Termes de l'échange -18.9%;
Épargne
nationale brute -2.5% ;
Épargne intérieure brute (administration)
-7.3%;
Solde extérieur courant -14.1%;
Balance globale des paiements
-9.9%;
les exportations -44% ; importations -27%
Fred HYPERLINK
"https://www.facebook.com/fred.loubangui?fref=ufi"Loubangui Vous
êtes un économiste humblement talentueux.
Dani-elleHYPERLINK
"https://www.facebook.com/danielle.mbari"
M-HYPERLINK
"https://www.facebook.com/danielle.mbari"bari a
partagé un lien.