DECLARATION DU SECRETAIRE GENERALE de L’UNION DES FORCES
REPUBLICAINES(UFR) DE CENTRAFRIQUE.: L’HEURE DU BILAN
(Communiqués 06/03/2006)
LA SITUATION POLITIQUE, SOCIALE, ET ECONOMIQUEEN REPUBLIQUE
CENTRAFRICAINE.
I-SITUATION GEOGRAPHIQUE :
Située au cœur du continent
africain, la République centrafricaine est un pays enclavé n’ayant aucun accès à
la mer. Elle couvre une superficie de, 623 000 km2 entre les parallèles 2° 3’ et
11°2’ latitudes Nord et les méridiens 13°25’ et 27°27’ longitudes Est. Elle fait
frontière sur 1 100 km avec le Tchad au Nord, 1 000 km avec le Soudan à l’Est, 1
200 km avec le Congo Démocratique et 400 km avec le Congo Brazzaville au sud
enfin 700 km avec le Cameroun à l’ouest.
Sur le plan administratif, elle est
divisée en 16 préfectures, elles-mêmes divisées en sous préfectures et en
communes. La capitale est Bangui.
Les sols sont essentiellement
ferralitiques sur du grès pour la plupart du territoire et deviennent
ferrugineux tropicaux vers le nord avec l’insolation. Les vertisols sont
spécifiques au bassin Tchadien.La végétation se caractérise par une grande
diversité allant de la forêt dense humide au sud aux savanes arborées et
herbeuses au nord. Cette diversité est confirmée par la richesse et l’abondance
de la faune qui utilise cette végétation comme habitat et nourriture.
Les
principales essences exploitées sont les méliacées et des espèces comme l’ayous,
le limba, l’aniégré.
La richesse du réseau hydrographique montre l’importance
des deux bassins.
Au niveau du bassin du Chari, les eaux sont drainées vers
le nord vers le Lac Tchad qui devient le réservoir de captage. Les eaux du
bassin oubanguien sont drainées vers le sud en direction de la mer, ce qui
explique la séparation nette du pays par la dorsale oubanguienne.
1.2-SITUATION POLITIQUE,SOCIALE ET ECONOMIQUE :
Le Bureau Politique de
l’Union des Forces Républicaines de Centrafrique porte à la connaissance du
Peuple Centrafricain et de la communauté internationale ce qui suit :
Depuis le coup d’Etat du 15 Mars 2003 du Général F. BOZIZE, La crise
économique, politique et sociale perdure sur tout les plans et nous conduit
inévitablement vers un génocide sans précédant en République Centrafricaines.
Véritable descente aux enfers de la population Centrafricaine sous le regard
complice du Bureau des Nations Unis en Centrafricaine(BONUCA).
Le Peuple
centrafricain sombre de jour en jour dans la misère, la pauvreté, la mendicité,
extrême malgré les nombreuses ressources naturelles dont dispose la
RCA.
Compte tenu des tensions graves et persistante, d’aucuns ont tendance à
minimiser voir douter de la véracité de ce génocide visant à exterminer la
population de l’Ouham-Pendé fief de l’Union des Forces Républicaine(UFR) avant
les prochaine consultation électorales. Nul ignore les récente résultats obtenus
par le candidat F. BOZIZE face au MLPC dans les circonscriptions de
l’Ouham-Péndé.
Malgré la ratification des textes Internationaux par la RCA à
l’UNION AFRICAINE ; assurant la protection des Droits de l’Homme ,les violations
sont nombreuses s’aggravent d’heures en heures.
L’Union des Forces
Républicaines tient à saisir, l’Union Africaine, L’Union Européenne, et La Cour
Pénale Internationale du génocide entretenu par la Garde Républicaine du Général
F.BOZIZE.
la période de transition dite consensuelle et la période post
électorale est très sombre.
Le Général.F.BOZIZE est l’arbre qui cache la
forêt des crimes contre l’Humanité en République Centrafricaine. C’est le reflet
d’une réalité à laquelle il est devenu urgent et nécessaire de mettre un terme
si la République Centrafricaine veut conserver sa place dans le rang des nations
civilisées et amorcer un début du troisième millénaire avec pour objectif
:
PAIX- SECURITE- DEVELOPPEMENT.
Le peuple Centrafricaine spolié,
torturé, opprimé, brisé, désabusé, et assassiné depuis l’Indépendance le 13 Août
1960, soit environs quarante six(46)ans, la JEUNESSE CENTRAFRICAINE en
particulier a subit de lourde perte en vie humaine. De ce fait , aucun projet
sérieux pour la société centrafricaine face à des dirigeant dont l’esprit de la
mégalomanie domine sur l’intérêt générale de la population. L’instabilité
politique, l’esprit de ségrégation ethnique, de régime clanique et corrompu a
attisé la violences.
Sous le régime du président F. BOZIZE, l’armée a
abandonné son rôle classique et légal de défense et de protection du Peuple, des
Institutions Républicaines.
Le mal centrafricain, c’est d’abord et avant tout
la génération des Hommes politiques irresponsables, sans aucune déontologie
professionnelle. Les crises successives ont fini par les diviser, sur leur
intérêt égoïstes et céder la place au lutte interne en associant l’armée ; ce
corps social sensé être le mieux structuré pour assurer la cohésion nationale en
toutes circonstances.
o -le Colonel Jean Bédel BOKASSA , pendant
treize(13) ans de règne par la mégalomanie et le chauvinisme était devenu
Général ,Maréchale et Empereur.
o -le Général André KOLINGBA, pendant
douze(12)ans de règne avec un esprit ségrégationniste(ethnisisme) et
égocentrique a conduit à la fin de son règne le peuple à la division clanique ,
tribale.
o le Général François BOZIZE, pendant trois(03)ans de règne avec
des résultas catastrophiques, sans précédant Pire encore que ceux qui l’ont
précédés, nous assistons aux génocides planifiés et organisés. Un régime
d’incompétence, de trahison, de népotisme, clanique…
Que sais-je encore ?
Véritable goulot d’étranglement qui plongera le peuple dans un gouffre de la
pauvreté, la misère, la mendicité. Le régime BOZIZE, c’est la destruction totale
des infrastructures économiques et sociales et de l’éloignement des
investisseurs sérieux en RCA.
Malgré ses énormes richesses potentielles tels
que :
 Le Fer, L’Uranium, L’Or,Le Diamant, Le
Pétrole,
 -Le Parc National Manovo, dans la région de Bogoran
;
 -Les Pygmée Aka avec la musique traditionnelle,
classée
patrimoine Mondial, ; dénote de la richesse culturelle que regorge notre cher et
beau pays.
En plus des échanges commerciaux, l'exportation des matières
premières (coton, café, bois, etc.) et le développement du commerce dépendent
tous du secteur des transports. D'où la nécessité d'engager des réformes
adéquates dans la branche du transport routier qui conditionne le développement
de l'économie nationale.
Un autre volet de la fragilité de l'économie
centrafricaine est celle lié à la gestion et l'exploitation des matières
premières, notamment le diamant, l'or et le bois.
Tout le monde s'accorde à
dire que la République Centrafricaine est un pays riche. Cependant, il est
économiquement admis qu'une richesse naturelle n'a de valeur que lorsqu'elle est
exploitée et transformée. Tant que les matières premières ne seront pas gérées
correctement et/ou produites en quantité suffisante pour être exportées, tant
qu'une partie de ces matières premières ne sera pas transformée sur place pour
générer des emplois, les richesses naturelles du pays ne serviront pas la cause
de la population.
Exploiter les richesses mais sans les brader. Si
l'exploitation des richesses du pays se fait par une classe politique donnée, en
complicité avec des hommes d'affaires douteux qui servent d'écran, elle est
anti-économique. Par ce qu'elle vise à accroître un enrichissement personnel,
elle devient antisociale. De plus, parce que les revenues issues de cette forme
d'exploitation échappent à l'impôt, elle appauvrit l'Etat. Enfin, les bénéfices
nets gagnés sont vites transférés à l'étranger dans le but de garantir l'avenir
en cas de changement de régime politique, elle est une source des fuites de
capitaux.
Pour que les richesses servent à réduire la pauvreté, elles doivent
être exploitées dans la transparence, par des sociétés agréées qui sont
susceptibles de verser régulièrement des royalties et/ou des impôts sur leurs
bénéfices d'exploitation dans la caisse du Trésor public.
La sécurité des
personnes est liée à celle de leurs biens et inversement. Sur le plan intérieur,
tant que la hantise du " grand banditisme " persistera, ce sont tous les
secteurs de l'économie qui régresseront inexorablement, conduisant le pays dans
une situation de récession permanente.
Sur le plan extérieur, aucun
investisseur ne pourra déployer les efforts nécessaires pour apporter sa
contribution financière au développement de la vie économique d'un pays où règne
l'insécurité. Les pillages de maison et la destruction des biens d'autrui ne
sont pas de nature à encourager l'investissement dans le commerce ainsi que dans
le mobilier et l'immobilier. Si cette situation persiste, elle contribuera à
long terme à un accroissement sans fin de la pauvreté dans le pays, en
multipliant la pénurie et la disette qui sont devenus une mode de vie en
Centrafricaine et que les nouveaux maître des lieux n’arrivent pas à
stabiliser.
Afin, d’éviter que la République Centrafricaine d’être mise à
l’indexe de la communauté universelle des nations, dont le sort n’intéresse
personne…. Cette situation mérite d’être portée à la connaissance de l’opinion
nationale et Internationale.
Cette responsabilité n’incombe pas seulement au
Général F. BOZIZE mais aussi à la classe politique dirigeante dans son ensemble,
sans aucun renouvellement, en mettant totalement la JEUNESSE CENTRAFRICAINE
comme simple observateur.
Cette génération des hommes corrompues ,rusés,
irresponsables, médiocres au pouvoir depuis plusieurs décennies , n’ont aucun
projet de société, de développement pour le peuple.
Tous recherche
exclusivement leur profit au détriment de la population en général, et de la
jeunesse en particulier où l’Intérêt égoïste est au dessus de l’intérêt général.
Par ailleurs, les infrastructures économiques qui ont été systématiquement
détruites ou pillés depuis les évènements qui ont accompagné la chute de
l'ex-Empereur Bokassa jusqu'à ceux qui viennent de s'achever le 15 mars 2003
auront du mal à se restructurer, car l'étendu des dégâts à réparer est
considérable. Cela nécessite des investissements lourds et la République
Centrafricaine n'a pas les moyens de répondre à ce défi.
Depuis le régime
BOKASSA, exception du régime de feu président D.DACKO ; au régime
BOZIZE,
Toujours le problème des salaires depuis des décennies !!! )
L’UNITE-LA DIGNITE- ET LA TRAVAIL n’est que vain mot pour cette génération
d’homme ; sans ambition pour le peuple et qui tournent continuellement le dos à
la jeunesse.
Le coup d’Etat du 15 mars 2003, n’est nullement un sursaut
patriotique ; comme le prétendait certaines classe politique centrafricaine sans
mesurer les contours des événements mais assoiffer des postes ministériels et de
leurs intérêts personnels.
Pour preuve, le régime BOZIZE, n’a
aucun projet crédible de société et pour le développement après les multiples
cas de pillages, destructions des structures économiques. Rappelons ici que le
putsch du 15 Mars 2003 était rendu possible grâce au concours de forces
extérieures notamment de mercenaires Tchadiens ; et qui continue de faire des
dégâts considérables.
Le Président, Ange Félix PATASSE ,dès son
accession à la magistrature suprême, a toujours privilégie le dialogue et la
concertation ; mais en réalité avait déjà une position arrêté sur le sujet, et
donc le dialogue et la concertation n’était que formel. Toujours , avec sa forte
personnalité ; ces même classe politique qui l’entouraient sont incapables par
déanthologie professionnelle l’arrêté dans sa prise de position. Quelle est cet
homme politique qui face aux violes, assassina, et pillages des rebelles de J.P.
BEMBA a décidé de démissionner du gouvernement, ou du moins lui dire non/stop.
Personnes, personnes et personne. Avec Les mercenaires Congolais du mouvement
MLC de Jean Pierre BEMBA, en accord avec son ancien Chef d’Etat-Major et les «
BAYAMULENGUE » ont tué, violé enfants, femmes, et hommes et pillé, tous ont
observés le mutisme.
Le Général F. BOZIZE (Idem) avec les mercenaires
Tchadiens de l’ethnie du Président IDRISS DEBY « Zakawas » ont aussi commis les
mêmes crimes, détruisant, pillant la société SOCOCA ou « KAJIMA », Un projet de
développement des infrastructures routières en RCA.
L’UNION DES FORCES
REPUBLICAINE, face aux allégation des autorités centrafricaines ; déclare
La
présence effective de l’Ougandais JOSEPH KONI sur le territoire centrafricain,
plus précisément dans l’Est de la République Centrafricaine(Frontière avec le
Soudan et le Tchad), venu aux secours du régime de BOZIZE.

Considérant les graves les violations de droit de l’Homme qui relèvent des
incriminations pénales de crime de guerre, de génocide et crimes contre
l’humanité prévu et puni dans le Statut de Rome. Nous demandons à la communauté
internationale de prendre ses responsabilité .
 -Considérant
, le non respect des recommandations du Dialogue National d’Octobre 2003 auquel
ont pris part plus de quatre cent(400) personnes représentant toutes les couches
sociales et qui a permis de faire un diagnostic général des maux qui gangrènent
la société centrafricaine et surtout de proposer des solutions à travers ses
différentes recommandations.
 Pour mémoire ,L’une des
recommandations essentielles c’est l’engagement de tous les participants à
résoudre désormais les différends de la société et des conflits par le dialogue.
Tel n’est pas le cas aujourd’hui. La réconciliation n’est que vain discours
.
le Conseil National de Transition par son régime consultatif a joué un
rôle déterminant, et très capital en faveur de la démocratie à savoir
:
 l’Elaboration des textes tels que l’Ordonnance sur la liberté
de la presse et de la communication,
 l’Elaboration de projet de
Constitution.
 Le projet de loi de finances jugé insuffisant par
le CNT et systématiquement rejeté obligeant le gouvernement à reprendre son
texte.
Considérant les graves violations de droits de l’Homme, la période
du coup d’Etat du 15 Mars 2003 a été marquée par :
o des Pillages,
particulièrement ceux des dignitaires de l’ancien régime et
o des Pillages de
l’administration centrafricaine,
o des assassinats au sein de la population
civil, et de l’armée ;
o des destructions de biens mobiliers et immobiliers
publics ou privés .
Pire encore, c’est l’attitude des ex-rebelles incorporés
dans l’armée centrafricaine(vice de procédure) et de ce faisant partie des
Forces Armées Centrafricaines « FACA » et appelées « ex-libérateurs »,ont
continué à semer la terreur« ex-libérateurs » :
 *contre la
population civil,( ex : assassinat d’entant devant le Lycée B. et de Marie
France YALEGAZA etc..)
 *dans l’armée centrafricaine tels que
 assassinat du capitaine DAMCHINE,
 soldat
MARZANE et Mamadou NGAÏSSONA,
 LT. P . ASSOMBELE,..
KOYANGAO,
 *les humiliations personnalités, coup et
blessures.
frappant et extorquant des fonds à des commerçants et tuant sans
la moindre inquiétude. Nous assistons à l’abus de pouvoir du régime de F. BOZIZE
par son silence coupable .
L’Impuissance de la justice à garantir, la
paix dans la société ; les magistrats sont terrorisés par les ex-rebelles de
BOZIZE et craignent pour leur propre vie, en sachant pertinemment qu’ils
bénéficient de la protection du pouvoir politique(Le Général F. BOZIZE).La
justice est incapable de mettre un termes à ces ex-rebelles de F.
BOZIZE.
Tout gouvernement d’un état de droit dit moderne, dispose un arsenal
juridique, capable de poursuivre tout acte délictueux. Tout citoyen
centrafricain est en droit de se poser un certain nombre de question de droit
élémentaire à savoir ; Quelle est la place et le lieux de la Justice dans le
processus démocratique en République Centrafricaine ? Pourquoi des poursuites
judiciaires n’ont-elles pas été engagées immédiatement contre les auteurs des
crimes ? Dans cet état des faits où va la république centrafricaine
?
L’Exemple des humiliations et des menaces :
 -Maître Emile
BIZON,
 -du Maître BANDASSA(Assassiné)
 -de Régis
TIANGAYE(Coup et blessure volontaire)
 -Claude SANZE
(Assassiné)
 -MANDABA(Humiliation)
 -la famille
KOTEKE. (Humiliation)
 -Au domicile du Maître Emile
NDJAPOU(Violation de domicile)
 -Le Maître Ngantouwa Gounoungaiye
WAFIO(menace)
 -le Maître Nicolas TIANGAYE (Violation de
domicile, destruction)
 -Mr MAKA
GBOSSOKOTO(Ménace)
 -Adolphe NGOUYOMBO.
 -monsieur
Patrick AKIBATA,
 -Monsieur Jean Louis GONDAMOYEN

-Monsieur Zéphyrin KAYA.
L’UNION DES FORCES REPUBLICAINES ,face à l’abus
de pouvoir de BANGUI, depuis le 15 Mars 2003 , jusqu’a ce jour et le silence du
Gouvernement Centrafricain devant la fréquence des faits ; interpelle la
communauté internationale, mais aussi et surtout directement L’UNION AFRICAINE
ET L’UNION EUROPEENNE .
Notons également le Gouvernement est incapable de
démanteler les barrières routières ce qui cause des graves entraves à la liberté
d’aller et venir dans la circulation ; aussi des personnes que des biens par
l’érection de barrières illégales par les forces de défense et de sécurité sur
les voies publiques pour extorquer des fonds aux usagers.
L’Article
15 : de la Chartre Africaine sur le droit des travailleur stipule :
« Tout
personne a droit de travailler dans des conditions équitables et satisfaisantes
et de percevoir un salaire égale pour un travail égale(reflétant son
travail).Tel n’est malheuresement pas le cas en RCA. Le paiement d’un salaire,
contre partie d’un travail fourni n’est pas respecté.
Le nouveau régime a
déjà à son passif neuf(09)mois d’arriérés de salaires en deux(02) ans .A cela
s’ajoutent à ceux accumulés sous le régime d’Ange Félix PATASSE et du Général
André KOLINGBA..
Le régime BOZIZE ne dispose aucun projet de société, citons
entre autre :
- L’Education est totalement oublier du gouvernement , son
système éducatif est il est en ruine dû au manque de moyens adéquats .
- Les
hôpitaux sont dépourvu de budgets pouvant assister les malades face aux
difficultés, ce qui entraîne la démotivation du personnel , et la catastrophe
dans les morgues.
- Le chômage avec un taux de plus de 40% est celui des
jeunes. La Jeunesse est victime de tout les régimes qui se sont succédés en RCA
,sans aucune formation, elles sont exposés à la délinquance, aux banditismes,
aux chômages. Commettre des vols et pratiquer des rackets sont devenus les
activités génératrices de revenus.
- Au plan politique, on s’attendait que le
régime BOZIZE prend en compte les recommandation issue du Dialogue National.
Mais la déception est très grande.
La mise en place des mêmes pratiques
et méthodes que Le Général F. BOZIZE reprochait aux autres, Ex/ :
• le
non-respect de la Constitution ,
• l’affairisme, la gestion opaque des
affaires,
• les même cause qui produisent les mêmes effets dans les conflits
en RCA , les causes de l’instabilité politique,
• l’absence de dialogue entre
le pouvoir et les composantes,
• le régime de
l’impunité.
Cette impunité est devenu une règle de droit
applicable aux proches du pouvoir en générale et particulièrement aux
ex-rebelles Du Président F. BOZIZE ; cette méthode de gestion du pouvoir par le
Président F. BOZIZE ne peut qu’ inciter davantage à la révolte populaire , elle
constitue un grave danger permanent d’ou la naissance de la justice populaire.
les arrestations arbitraires effectuées par des Officiers de Police judiciaire
et parfois extra judiciaire par les ex-rebelles sont très fréquents. Elles sont
utilisée comme moyens d’intimidation des opposants ou de personnes perçues comme
telles.
En gouvernant par la seule force des armes et avec sa seule
famille depuis le 15 Mars 2003,fremant la porte à tout dialogue politique, avec
l’opposition et la société civile F.BOZIZE ne nous laisse pas d’autre choix que
celui de la violence. L’Union des Forces Républicaines refuser de s’exprimer par
la violence et continue de privilégier la diplomatie ; toute fois l’usage de la
force demeure la dernière voies de recours.
Ce faisant , notre objectif reste
et demeure le rétablissement de la paix et de la sécurité et le relance de
processus démocratique dévoyé et confisqué par le régime de F. BOZIZE.
le
Président de la République continue de cumuler jusqu’à ce jour ses fonctions de
Chef de l’Etat avec celle de Ministre de la Défense ,ce qui traduit l’esprit
égoïste de la gestion du pouvoir qu’il incarne.
Le Président F. BOZIZE est
l’unique Président de l’histoire de la république à jeté de l’opprobre sur notre
Nation, par son comportement de délinquance Internationale, de la barbarie des
génocides, de narcotrafiquant de Diamants Centrafricain en Allemagne.
Le
Président F. BOZIZE, Général de son état ; s’il est incapable de diriger sa
petite famille, de les éduquer, comment peut-il prétendre diriger un Etat ,
quelle éducation peut-il donner aux centrafricains ? TEL PERE , TEL FILS .
La
condamnation en France dans une affaire d’escroquerie de l’un des fils du
Général F. BOZIZE, traduit fidèlement quel type de père il représente au niveau
de sa famille et au niveau de la nation centrafricaine. N’est-ce pas de
l’indignité ? Incapable d’éduquer sa famille.
Un tel personnage mérite-il
encore de diriger notre pays, la République Centrafricaine qui a pour Devise
Nationale :
UNITE – DIGNITE – TRAVAIL . C’est de la Haute trahison a
notre devise nationale, de l’Indignité Nationale que Le Général F. BOZIZE , car
il est claire que c’est le FILS légitime du Président Centrafricain, F.BOZIZE
qui vient d’humilier le drapeau centrafricain.
Jamais de mémoires
centrafricain, le Peuple n’a connu de tels humiliations. Le Général F. BOZIZE ,
Président de la République doit démissionner pour avoir humilier et déshonorer
le peuple centrafricain . Reste à savoir si le Général F. BOZIZE, Président de
la République a le sens de L’HONNEUR et de la DIGNITE ???
Tel père, tel
Fils…cliques des voleurs au sommet de l’Etat qui détournent et pillent le Trésor
Public centrafricain et comndanent le Peuple à la souffrance , à la misère. Les
Neuf(09) mois de retards de salaires des fonctionnaires centrafricains se
justifient.
De même, par soucie de transparence et de l’honnêteté
intellectuelle le Général F. BOZIZE doit en tant que premier citoyen déclarer
ces patrimoines comme l’exige la loi ; à l’exception du Premier Ministre et de
quelques membres du Gouvernement qui ont déclaré leurs patrimoines au Greffe de
la Cour Constitutionnelle . Le Général F. BOZIZE , et les députés n’ont toujours
pas déclaré leurs patrimoines, comme le prévoie les dispositions de la
Constitution du 27 Décembre 2005, les délais impartis par la loi fondamentale
son,t expirés. au peuple centrafricain les sources des million de dollars qu’il
dispose au Burkina-Faso. Pourquoi les fonctionnaires accusent plusieurs mois
d’arriérés de salaires ? Quelle est l’origine des fortunes colossales et
l’opulence inouïe du Général F.BOZIZE et de son clan (Ministre de mine Sylvain
NDOUTINGAI, Député NGAISSONA..etc.)
L’opposition à la déclaration des
patrimoines, explique clairement, la non transparence dans la gestion des
affaires publiques. La mauvaise gouvernance nous empêche de contrôler les
enrichissements illicites du régime de F. BOZIZE , ses députés, et certains de
ses Ministres.
le Bureau des Nations Unies en Centrafrique « BONUCA »
continu d’induire l’opinion nationale et internationale en erreur dans ses
analyse des violations des droits de l’homme persistent, la situation s’est
plutôt empirée et aggravée avec le régime de l’impunité instauré par le pouvoir
de Bangui.
Les violations des droits de l’homme et du peuple dénoncées
quotidiennement par la Ligue Centrafricaine des Droits de l’Homme n’inquiète
nullement le gouvernement , tous pris dans le piège de F.
BOZIZE.
Quand les crimes ou délits sont commis par des proches du
pouvoir, l’impunité totale leurs sont assurée et garantie par la présence
complice du Procureur de la République.
Contrairement à la déclaration du
BONUCA, nous pouvons énumérer les violations de droit tels que :

Les exécutions sommaires et extra-judiciaires pratiquées par les
ex-rebelles.
 Les atteintes aux libertés individuelles et
collectives s’intensifient en fonction du climat social.
Ex : Monsieur Noël
RAMADAN, Secrétaire Général du Syndicat « USTC » a été arrêté, conduit à la
Gendarmerie sans motifs sérieux. Il n’a pu obtenir sa liberté que grâce à
l’intervention directe du Premier Ministre, Monsieur Elie DOTE qui, excédé par
ces pratiques arbitraires, s’est rendu personnellement à la Gendarmerie pour le
conduire chez lui.
Ex : le cas des ex-rebelles armés jusqu’au dent qui se
sont au domicile de Maître Nicolas TIANGAYE dans la soirée du 2 janvier et le
lendemain matin pour l’assassiner. Ne l’ayant pas trouvé ni sa famille, ils ont
mis à sac quatre véhicules et sa maison et ont pillé des objets
personnels.
Ex : le Chef Suprême des Armées, garant des institutions et
du respect du droit de chaque citoyen puisse nier la force et la primauté du
droit au respect duquel tout le monde est astreint à commencer par l’Armée dont
la mission doit reposer sur la loi ?
Malgré l’onction démocratique, les
droits de l’homme sont loin de constituer à ses yeux une valeur fondamentale, ce
qui fait dire que, bien qu’issu des urnes, ce pouvoir est en réalité un pouvoir
autoritaire et « dictocratique ».
Peine perdu , le régime du Générale F.
BOZIZE a demandé à l’Assemblée Nationale de l’autoriser à légiférer par
Ordonnance pendant ( 09) mois sans restriction.
L’UNION DES FORCES
REPUBLICAINE, dénoncé ce projet comme une tentative d’imposer la dictature au
peuple centrafricain par la complicité de certains députés de l’oppositions.
Quelle est le rôle et la place des députés dans un régime dit démocratique
?
Devant la gravité de ces actes criminels accompagnés de l’impunité puisque
les auteurs présumés de tous ces faits n’ont jamais été inquiétés, le pouvoir a
tenté d’abord de minimiser la situation avant de se dévoiler.
Le 10
Février 2006 , le Président de la République a pris parti pour ses compagnons de
la rébellion en défendant les comportements criminels au lieu de défendre la
loi, les principes de droit et la justice.
On ne saurait méconnaître le
droit et la loi, placer sur le même pied d’égalité comme le fait le
Gouvernement, le meurtre commis par Claude SANZE dans des conditions
susceptibles de constituer une légitime défense .
Alors que les
Organisations de défense des droits de l’homme ont exigé une véritable enquête
judiciaire pour déterminer les responsabilités puisque certains auteurs de ces
crimes sont bien identifiés, le Gouvernement se borne à solliciter un rapport
confié à on ne sait quel organe.
Dans ces conditions, on peut
légitimement se poser la question sur l’utilité de la justice ; son rôle et sa
place au sein de la société centrafricaine. la politique du régime BOZIZE qui
vise généralement à noyer un événement dont la suite risque de mettre à nu le
système entre le pouvoir et sa main armée qui bénéficie de toutes les
protections.
L’Union des Forces Républicaine , a décidé de mettre un termes
par tout les moyen possible à l’insécurité qui constitue un véritable entrave à
la liberté de circulation des biens et des personnes conséquence logique de la
situation politique, économique et sociale catastrophique.
Ex :des crimes
des éléments (ex-rebelles ) du Général F. BOZIZE.
Dans l’OUHAM ( à KABO,
BOSSANGOA, MARKOUNDA et NANGA-BOGUILA,)et l’OUHAM –PENDE en particulier à PAOUA
que des exécutions sommaires de personnes ont été perpétrés fin Janvier 2006
.Conséquence, plus de 50.000 réfugiés au sur du Tchad.
Face au comportement
irresponsable du gouvernement, et aux ex-rebelles qui terrorisent la population
par des exactions de toutes sortes, mettant en péril la cohésion nationale. Le
pouvoir dont ils constituent le bras armé a toujours fermé les yeux sur leurs
comportements criminels. Que faire alors ?
Afin de mettre terme à ces
terrorismes en République Centrafricaine, L’U F R demande à l’ L’Union Africaine
et à l’Union Européenne la mise en place d’une commission d’enquête, et de
prendre les mesures qui s’imposent.
1.3- CAUSE DE L’UNION
DES FORCES REPUBLICAINES.
L’Union des Forces Républicaines (UFR) de
Centrafrique est née le
25 Décembre 2005 suite à la situation politique et
sociale en République Centrafricaines. Rappelons que la situation politique et
sociale en République Centrafricaine est suffisamment grave face à la
population, faible et sans défense, ni sécurité. C’est donc, après un constat
amer sur le climat d’Insécurité, d’Injustice, de la crise financière et surtout
des graves violations de la Chartre Africaine de Droit de l’Homme et des Peuples
; que l’Union des Forces Républicaines a vue le Jour .Sa devise c’est :
«
L’UNION – JUSTICE- TRAVAIL ».
Voici résumé les différents faits :
1- La
Violation de la Chartre Africaine des Droits de L’Homme et des Peuples,
2-
L’Etat-fallite de la République Centrafricaine, face à la structure
étatique
et d’institutions faibles, dans cette situation il n’y a pas d’Etat de
droit.
3- La Violation de la Constitution Centrafricaine, explique l’abus de
pouvoir, du au faite de l’absence de mécanismes opérationnels.
4- La
violation de droits des Défenseurs, de droits de l’Homme en République
Centrafricaine (réf : www.fidh.org du 20/01/2006).
5- L’Insécurité dans le
Nord et dans la capitale Centrafricaine, conséquence plus de quarante mille
(40.000) réfugiés au sud du Tchad, vivent dans des conditions amères et
difficiles. Tous réclament la Sécurité et la Paix dont le régime BOZIZE est
incapable de rétablir sur tout l’étendu du territoire centrafricain.
6- le
Droit de retour des réfugiés au bercail.
7- L’Incapacité et
l’Irresponsabilité des dirigeants à faire face aux
problèmes des :
•
Arriérés de salaires cumulés (09) mois et le non paiement à terme échu de
salaires des fonctionnaires centrafricains (Art.15 de la Chartre Africaine)•Le
non paiement des Bourses aux étudiants centrafricains (Nationaux/et à
l’Etrangés).L’avenir de la jeunesse centrafricaine est une fois encore
hypothéqué sous, Le régime BOZIZE.
-Ex : les Etudiants et stagiaires
centrafricains (errants et oublier) en
grèves à l’Ambassade de la République
centrafricain au MAROC.
-Ex : les Etudiants centrafricains à l’Université de
BANGUI…etc.
• Le non paiement des Pensions aux retraités.
8- La non
Indépendance de la Justice Centrafricaine.
Conséquence des Graves violations
de Droits Humains sur la Population Centrafricaine.
Tous ces multiples crimes
demeurent impunis au regard de la loi.
9-Le non respect des Institutions
Républicaines, par les ex-rebelles de BOZIZE (Bozize, Prise en otage par les
ex-rebelles).Ces ex-rebelles sont aux dessus de la loi ou se substituent aux
institutions.
10-Les Graves menaces à la liberté de la Presse en
RCA.
11-L'Incorporation des troupes étrangères, au sein de
l'Armée
Nationale Centrafricaine.
Nous assistons à un pilotage à vu, sans
programme de développement sous le régime F.BOZIZE.
Tels sont les
circonstances qui ont prévalu à la naissance de
l’Union des Forces
Républicaine, un mouvement à caractère
politico-militaire, dont j’assume
actuellement, la fonction du Secrétaire Général de l’Union des Forces
Républicaine (U F R) et du Com .Forces Républicaines.
1.4-BUT DE L’UNION
DES FORCES REPUBLICAINES.
L’Union des Forces Républicaines (U F R),
recherche les voies et
moyens pour résoudre définitivement la Crise
Centrafricaine, sur le plan
politique ou militaire.
A/ AU PLAN
POLITIQUE
L’Union des Forces Républicaines (UFR) privilégie la voie de la
Diplomatie, par un dialogue franc à trois niveaux :
1-Les Nations
Unis
2-L’Union Africaine
3-Les Organismes Internationaux et
Religieuses.
B/ AU PLAN MILITAIRE
L’Union des Forces
Républicaines, ne voudrait pas nécessairement
utiliser la Force ou la
violence ; pour s’exprimer et trouver une solution acceptable. Mais,
l’alternative de la Force reste et demeure en cas d’échec de la Diplomatie ;
c’est à ce moment que le mouvement sera dans l’obligation de faire appels à ses
Forces militaire en gestation.
Toutefois, nous restons optimiste pour le
succès de la diplomatie sur les forces de
ténèbres.
1.5-L’Insécurité :
Le stade de la violence
actuellement a atteint son paroxysme en
République Centrafricaine. Les
efforts du Dialogue national, et de
conciliation ont échoué, l’ère des
escarmouches parviennent à terme déjà.
Nous arrivons à la face cacher du
régime de F.BOZIZE qui se cache derrière la démocratie pour pratiquer de la
dictature, c'est de la "dictocratie " que le régime F. BOZIZE pratique.
D’une
manière Général plusieurs Militaires ont trouvé la mort suite aux exactions des
ex-rebelles de BOZIZE.
A/ AU SEIN DE L’ARMEE :
On peut retenir
entre autre les cas des Militaires assassiné par les
ex-rebelles à savoir :
-Le Capitaine DAMCHINE / faca
-Le Lieutenant PATRICK ASSOMBELE /
faca
-Le Sergent SANZE
-Le Soldat MARZANE
-Le Soldat MAMADOU- NGAISSONA
et autres, tous des militaires abattus froidement par leurs frères d’Armes (Ex
rebelles) pour des faits anodins.
Tels sont les conséquences de
l'incorporation des troupes étrangères au sein de l'armée centrafricaine.
Ce
que le peuple centrafricain n’arrive pas à comprendre et à expliquer c’est le
mutisme observé par le Général BOZIZE donc les hommes de main se comporte en
terroristes contre leurs frères d’arme, voir contre la paisible population
civile en toute impunité.
B/ AU SEIN DE LA POPULATION CIVILE.
Les
cas sont multiples et innombrables. Elle vari en fonction des
quartiers
bref.
-Exemple : L’assassina de l’Etudiant PAN Aubin etc.… que sais-je encore
?
Tous ces ex-rebelles circulent en toute liberté et ne sont jamais
inquiété par la justice qui ne dispose pas de son pouvoir indépendant
conformément à la loi.
- Exemple : des exactions du LT. DOGO sur la
population civile, sans défense ni sécurité.
-Exemple : Au Nord( PAOUA), les
récentes carnages à but d’épuration ethnique de l’ex-rebelle LT.NGAIKOISSE sur
une population civile, sans défense ni arme : pasteur, paysans etc.… . Malgré la
déclaration des trois député de la dite circonscription de Paoua 1, 2, et
3.
Conséquence il a été promu au Grade de Capitaine à titre d’Encouragement
et de félicitation par le général F.BOZIZE.N’est-ce pas là un défi lancé, au
peuple Centrafricain, à la communauté internationale et aux organismes de droits
de l’homme ?
Faire la rébellion avec le général F.BOZIZE, et arrivé au
sommet de l’état par la force des armes ; ne donne aucune raison à quiconque de
marcher sur le peuple que nous devons par principe : DEFENDRE ET PROTEGE, avec
HONNEUR ET LOYAUTE.
En effet, ces ex- rebelles passé du grade de soldat de
2ème
classe au galon de lieutenant ignore, le sermon de l'Officier. Mal
formé, sont des véritables "criminels en puissance". (Réf: Le Capitaine THOMAS
SANKARA/ Paix à son âme).
1.6 – JUSTICE :
La faiblesse de
l’appareille judiciaire, se trouve dans l'absence réelle de l'indépendance de la
justice.
-Exemple : Le Procureur de la République (Firmin FEINDIRO), n’est
rien d’autre que le neveu du Général F.BOZIZE, appui et protège les abus du
pouvoir, les ex-rebelles qui ne sont rien d’autre que des proches
parent.
-Exemple: Des graves menaces des Défenseurs de droit de l'Homme en
RCA (réf:LCDH)Par conséquent, la population civile est abandonnée à elle-même
etc.
1.7 – CAUSE DE LA CRISE FINANCIERE :
La gestion du
patrimoine nationale par le clan BOZIZE, absence d’un Projet de développement.
Absence du sens élever du devoir, c’est un pilotage à vue.
Exemple : le
Directeur de Cabinet, Francis BOZIZE coordonne et dirige comme pendant la
rébellion, un gouvernement parallèle sis à la résidence de son père(Villa
SASSARA).
Toutes les décision prise en conseille de ministre ou de cabinet
doivent nécessairement être soumis devant ce gouvernement parallèle pour
décision.
-Ministère des Finances
- Ministère de la Justice
- Ministère
de la Défense etc.…
Tels sont les véritables sources des maux, l’entourage du
Général F.BOZIZE.
Exemples :
La cause de la démission de
l’ex-Ministre de Finance J.P LEBOUDER, par déontologie professionnel ne pouvait
pas accepter une telle procédure.
Le Général François BOZIZE, est un
stratagème, adepte du machiavélisme.
L’élève model de l’empereur BOKASSA,
avec l’art de diviser pour bien régner hélas ! L’époque de l’empire avec la
barbarie, les crimes odieux et exécrables sont révolus.
L’union des
forces Républicaines à l’échelon nationale
(Assemblée Nationale) a engagé
des procédures sans suite et se voie désormais dans l’obligation de regarder à
l’échelon Internationale. Afin d’ouvrir une enquête sur la situation politique
et sociale en République centrafricaine, afin d’éviter le schéma :
-Du
LIBERIA
-Du RUWANDA et
-De la COTE D’IVOIRE.
Si le régime du
Général F.BOZIZE est pris en otage par une clique cléricale et ethnique qui
isole le peuple, l’opprime et le réprime ; cela doit cesser pour que la RCA
aspire enfin à la paix, la sécurité et au développement.
C’est également le
lieu de rappeler le rôle et la place des organismes Internationaux dans la
prévention des conflits, car en générale ces organismes n’intervienne qu’après
le déclenchement des conflits (Ex : du génocide ROUANDAIS / et l’épuration
ethnique en cours en RCA).
Le constat est amer, car la Démocratie est soutenu
généralement pendant les élections et abandonné après les élections.
Alors
que la vrai Démocratie s’échelonne : AVANT – PENDANT-ET APRES LES ELECTIONS ; ce
qui implique un suivie permanent de la situation politique et social dans les
pays africains.
Mon engagement sous le drapeau centrafricain,
conformément au
sermon d’Officiers à savoir « DEFENDRE ET PROTEGER SANS
IDEES DE RECULE LE PEUPLE CENTRAFRICAIN »…est la mission de l’Union des Forces
Républicaines.
Désormais, je n’appartiens plus à ma famille, mais à la Nation
Centrafricaine dont ; je suis issue.
Par conséquent, je défendrais
jusqu’au sacrifice suprême Le PEUPLE CENTRAFRICAIN SANS DISTINCTION DE RACES, DE
RELIGIONS, D’ETHNIES .
1.8 CONCLUSION :
L’état des lieux
présenté par l’UFR à titre de bilan est très négatif. la violence
institutionnalisée en règle de droits des ex-rebelles constitue de graves
entraves au développement de la République Centrafricaine.
Face à cette
kermesse de désordres nationale dont le Général Président F. BOZIZE est lui même
le géniteur de ce chaos, l’Union des Forces républicaine ; notre mouvement
révolutionnaire est déterminé à rétablir sur l’étendue du territoire
centrafricain :
LA PAIX et LA SECURITE.
L’Union des Forces
Républicaines, milite pour l’établissement d’un état de droit et démocratique en
Centrafrique ; après cette aventure horrible du Général-Président F. BOZIZE.
Dans cette situations normalisée, le pouvoir judiciaire indépendant sera
aussitôt saisi les coupables des crimes quels que soient leurs rangs dans le
club des amis, parents ;de cette mafia d’abus de pouvoir, de pillages, de
spoliations , de terroristes, de viols, d’assassinats… ; répondront de leurs
crimes et autre forfaitures demeurés à ce jour impunis.
Par conséquent, il
est devenu urgent et impératif de faire cesser immédiatement grâce à l’action
conjuguée de l’Union Africaine ,de l’Union Européenne, des Défenseurs de droits
de l’Homme et du Peuple Centrafricain ; épris de Paix liberté justice et du
Développement.
RDCongo, le 28 Février
2006
__________
. LE SECRETAIRE GENERAL DE L’UFR
LT.
FLORIAN. N’DJADDER-BEDAYA
COPIE:
-L’UNION AFRICAINE
-DELEGATION DE
L’UNION EUROPEENNE
-BONUCA
-AMBASSADE DE FRANCE
-AMBASSADE DES
USA
-AMBASSADE DE LA LYBIE
-FIDH,LCDH,RADHO,HUMAN RIGHTS
WATCH
-L’AMNESTY INTERNATIONAL
-PRESSE.
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