Urgent : François NGOUANDJIKA, porté disparu en France

François a disparu le 05 août 2006 à COLOMBES, il se promenait dans un Parc, quand ses petits enfants sont venus le chercher, il n'était plus là, sa famille est très inquiète

François N'GOUANDJIKA
Pseudonyme ATA WOWO


- 89 ans né à BANGUI (RCA)
- A disparu le 05 août 2006 à COLOMBES (92)
- Taille 1 m 80
- Ne voit pas bien de l'oeil gauche (suite à une blessure)
- Des difficultés pour marcher, il a une canne
- Vêtu d'un survêtement ADIDAS Jaune et des Baskets Beiges
- Ne parle pratiquement pas français
- Ancien combattant "Tirailleur Sénégalais de 1939 à 1945"

François a disparu le 05 août 2006 à COLOMBES, il se promenait dans un Parc, quand ses petits enfants sont venus le chercher, il n'était plus là, sa famille est très inquiète.

Mercredi 06 Septembre 2006 - 16:16

Prospert YAKA MAÏDE (ACP)


LE MINISTRE GOUANDJIKA COMPATIT AVEC LA PRESSE

‘‘On reconnaît les vrais amis dans le malheur''. Ce dicton s'est vérifié à plusieurs reprises et il était plus patent lors des obsèques de notre confrère Philémon Maïhigui Lahondam de Radio Ndéké-Luka. Malgrès la pluie qui s'est abattue sur la capitale de vendredi 1er septembre 2006, le ministre Fidèle Gouandjika, malgré ses obligations a voulu consacrer son temps à compatir avec la presse lors de ces obsèques. Bien qu'il n'ait dit mot, sa présence a été appréciée par tous les communicateurs présents à cette cérémonie.

Ponctuel et respectant le programme, le ministre Fidèle Gouandjika a fait un e leçon de morale à tous ceux qui n'ont aucune considération pour le métier de la presse. Philémon Maïhigui Laondam alias ‘‘Tonton Phili'' n'était pas un inconnu pour les nombreux auditeurs de notre consoeur Radio Ndéké-Luka. Ils étaient là nombreux, malgré l'étroitesse de l'espace. Les parents, les amis, les communicateurs, mais aussi deux membres du gouvernement. Le ministre d'Etat à la Communication, M. Jean Eudes Teya, le patron de l'Institution qui a en charge la presse nationale toute entière, M. Fidèle Gouandjika ont tenu à témoigner à la presse nationale qu'elle n'est pas seule dans le malheur.

Les communicateurs auraient souhaité voir un peu plus de personnalités, mais la presse a ses amis et se adversaires. Les amis se sont comptés au bout des doigts lors de cette dure épreuve qui vient de la frapper. Les journalistes et communicateurs ont tiré la leçon de sympathie que leur a témoigné le ministre Fidèle Gouandjika, qui en bien des occasions n'a pas eu sa langue dans la poche.

La famille de la presse, présente aux obsèques du confrère Tonton Phili a aussi eu le temps de réfléchir. C'est ainsi quun confrère a fait cette réflexion. ‘‘Les autorités et autres hommes publics nous courtisent quand ils ont besoin de nous. Mais quand des occasions comme celles que nous vivons aujourd'hui se présentent, ils disparaissent. La leçon est bien retenue''.

Lundi 04 Septembre 2006

Diogène

Source : http://www.leconfident.net