Léopold Bara, conseiller Stratégique porte-parole de POUZERE pour un choix lucide!!

Il arrive toujours un jour ou il faut savoir faire un choix fut-il décisif pour soi et pour l'avenir de la multitude.

Se déterminer, c'est avant tout prouver son caractère, qu'on ne se laisse ni intimidé par des menaces, ni acheter. Avant d'opérer une anthologie, il est une question qui doit se posée avec acuité; c'est celle de savoir si nous voulons la justice, la liberté, l'égalité entre les Hommes et le renouveau?
Si oui, le choix du président Pouzere est une preuve de lucidité intellectuelle qui place l'homme non seulement au rang du subissant de son destin, mais plutôt le positionne en véritable décideur de son avenir.

Car de part sa culture et son pratique du droit, le président Pouzere est et demeure l'unique récurrence diligente contrairement aux autres aspirants à vocation creuses. Étant donné que le droit et la raison sont les seules choses qui sont universellement partagées et ne soufrent pas d'antagonisme et se passent de toute obédience; combattant le sectarisme, l'intégrisme et l'extrémisme de tout genre en émanation d'une certaine philosophie pouvant gagner du terrain et constituer un danger irréversible pour l'avenir.

Si l'on veut avoir le droit à la vie, à la liberté, au respect de sa personne et de ses biens, il faut faire un choix lucide entre la dualité mondaine qui a toujours opposée la justice a l'injustice mais le cas centrafricain impose un troisième qui est l'évidé.
D'où l'heure est plus que jamais venue de montrer par son vote celui entre les mains duquel l'avenir de toute la nation sera dévolue pour la durée d'une mandature; de choisir entre la justice, l'injustice et l'évidé; de vaincre le cercle de la violence et de la tyrannie par cette force que la loi met à notre disposition: LE BULLETIN DE VOTE.

Aujourd'hui nous allons protester contre la violence, l'injustice et la servitude dont notre nation a toujours été la victime résignée en nous servant du bouclier anti-injustice, anti-sectarisme qui n'est rien d'autre que le président H. Pouzere professionnel du droit; étant donné que son unique souci a toujours été de veiller avec une extrême vigilance sur les droits de tous en général et de chacun en particulier en faisant siens les doléances et les deuils de tous.

Il est fermement résolu a libérer le peuple centrafricain de la misère démographique, physique et spirituelle ( sans amalgamer la politique avec sa foi religieuse ) avec la collaboration de tous les hommes de bonne volonté.

Il n'a jamais été membre ni collaborateur, ne cautionnait de près ou de loin l'un de multiples régimes qui ont participé de manière systématique à la destruction programmée de notre pays.

Profondément Centrafricain, soucieux de promouvoir l'évolution de son pays, toujours désireux de créer une union de toutes les compétences de centrafrique, sachant que ce pays est déjà suffisamment morcelé par des questions de tribu, de clan, et de région qui constituent quelque peu un handicap contre contre sa prospérité? afin de donner l'exemple de cette union et travailler pour sa concrétisation, jugeant que les partis et mouvement crées à tour de bras risqueraient de nous diviser d'avantage et de désagréger le pays, il s'est toujours tenu à l'écart des partis tout en distinguant les bons des mauvais pour le bien suprême du pays.

Ses connaissances politiques aidant, et après avoir passer en revue et avoir constater le fossé qui existe entre les théories des partis avec leurs pratiques, il s'est déclaré candidat des hommes et de femmes ayant pris l'engagement de réaliser l'unité nationale, conformément aux intérêts communs et aux aspirations du peuple.

C'est à nous de faire naître peu à peu en peuple centrafricain les sentiments de l'honneur, de dévouement et de la reconnaissance qui son les faits de l'éducation.

Seul le président Pouzere, présente des garanties indispensables qui permettent à la centrafrique de réussir dans cette lourde tache qui est: LE RAYONNEMENT DE LA LUMIÈRE DE LA LIBERTÉ, DE LA FRATERNITÉ DANS L'ENSEMBLE DU PAYS. Les problèmes qui se posent sont très complexes pour être sériés de façon strict. On ne saurait, sans commettre de graves erreurs, les séparer les uns des autres. Le problème de base,celui qui, négligé, condamne et compromet tous les autres est celui de la population et de la famille. A ce sujet, et sur ce point, la critique est trop facile, il n'est pas question de démagogie. Nous voulons envisager aujourd'hui le problème bien en face, sans illusion mais sans amertume.

Veillez à la santé publique et la possibilité pour la famille, de se développer dans le cadre des institutions locales; la famille, cellule de base de toute les sociétés doit être le premier objet de toutes les sollicitudes du peuple.
On ne s'est presque jamais inquiété véritablement de la condition de la femme et des filles dans notre pays. La femme (fille) centrafricaine doit être encore rien d'autre qu'une simple marchandise, une main d'oeuvre sexuelle,une servante que l'on vend au plus offrant?
La condition déplorable de la femme ( fille ) entraîne pour la société des conséquences dont on ne soupçonne pas assez l'étendue entre autre: l'instabilité des ménages, les avortement et la mortalité infantile qui sont à l'origine du sous peuplement du pays, le vih et les autre maladies vénérienne et l'immoralité qui en est le véhicule, et enfin la mauvaise éducation des enfants. Pour apporter une solution efficace, l'anthologie du président Pouzere est la solution qui est porteur de l'espoir.

Léopold Bara (23 décembre 2004)

Actualité Centrafrique de sangonet - spéciale élections 2005